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vendredi 6 septembre 2013

John Kerry plagie Paul Wolfowitz


Le Secrétaire d'Etat, John Kerry, à l'Audition du Comité de la Maison des Affaires Étrangères sur l'autorisation de la guerre en Syrie le jeudi 5 septembre 2013 :
"En ce qui concerne l'offre des pays arabes de prendre en charge les coûts... la réponse est clairement oui. Ils l'ont faite. L'offre est sur la table."

Le Secrétaire Adjoint à la Défense, Paul Wolfowitz, le 23 mars 2003 à la veille de la guerre en Irak, devant le Comité des Affectations des Dépenses :
"Les revenus pétroliers de ce pays pourraient apporter entre 50 et 100 milliards de dollars sur les deux ou trois prochaines années. Actuellement, il y a beaucoup de revendications sur cet argent, mais... Nous sommes en train de parler d'un pays qui peut réellement financer sa propre reconstruction et à relativement brèves échéances."

La guerre "gratuite" de Wolfowitz a fini par coûter aux contribuables américains plus de mille milliards de dollars. Combien est-ce que la guerre gratuite d'Obama et Kerry et Rice et Power nous coûtera-t-elle ?

Il y a beaucoup d'autres similitudes. Les deux guerres sont basées sur des mensonges et des preuves falsifiées. Durant les préparatifs de ces deux guerres, le Congrès a complétement ignoré si les assertions de base de l'administration étaient vraies ou fausses. Ce débat n'a pas eu lieu. Le débat était seulement quand et comment lancer la guerre. Comment contourner l'autorisation pour l'usage de la force de sorte de ne pas avoir l'air de donner carte blanche au président tout en lui donnant véritablement carte blanche.

Nous sommes dans la même situation aujourd'hui. A part quelques exceptions, les "opposants" à l'autorisation de la guerre étaient ceux qui étaient frustrés qu'elle n'aille pas plus loin, demandant au président d'établir un blocus aérien et des troupes au sol.

Les américains dans leur grande majorité ne veulent pas à présent d'une guerre en Syrie. Probablement que dans une semaine environ, l'accentuation de la propagande de Kerry "Assad est Hitler" permettra de grappiller des points d'opinion en faveur d'une action américaine. Avec une propagande bien ciblée, ils peuvent même s'approcher de la majorité.

Mais tant qu'Hitler est au menu, peut-être serait-il utile de revisiter un instant d'une honnêteté profonde de l'un de ses représentants, Hermann Göring, interviewé dans sa cellule lors du procès de Nuremberg. :
Göring : Naturellement, le peuple en général ne veut pas la guerre... Mais après tout, ce sont les dirigeants d'un pays qui déterminent la politique et ce dont il s'agit toujours, c'est simplement de faire adhérer les gens, que ce soit dans une démocratie ou dans une dictature fasciste ou un parlement ou une dictature communiste.

Gilbert : Il y a une différence. Dans une démocratie, le peuple a son mot à dire en la matière à travers leurs élus, et aux États-Unis seul le Congrès peut déclarer la guerre (ndr : contrairement à la France où le Président de la République peut se passer du Parlement).

Göring : Oh, c'est une très bonne chose, mais, contestation ou pas, le peuple peut toujours être amené à soutenir ses dirigeants. C'est facile. Tout ce que vous avez à faire et de leur dire qu'ils sont attaqués et dénoncer les pacifistes pour leur manque de patriotisme et d'exposer le pays au danger. Cela marche de la même manière dans n'importe quel pays.

source : LewRockwell.com
traduction : Kairos & Logos

lundi 26 août 2013

Tragiques répétitions avant la 3ème Guerre Mondiale

 
La Syrie est depuis de longs mois et sans conteste possible le point chaud de l'actualité internationale. Même les agitations en Turquie ou les soulèvements en Égypte n'ont durablement volé la vedette à Bachar el Assad qui truste les manchettes de journaux et fait le buzz sur les réseaux sociaux.

Et pour cause, chacun se rend compte que les enjeux de la Syrie ont dépassé depuis longtemps le pays et la région en elle-même. Ce qui a peut-être commencé par un mécontentement d'une partie de la population syrienne, a très rapidement été noyauté et récupéré par les takfiri islamistes financés par l'Arabie Saoudite et le Qatar. Ce qu'on nous présente encore comme une guerre civile avec ses prétendus "rebelles" ré-estampillés tout récemment et honteusement en "résistants" (sic) n'est que cet ennemi d'hier en Irak, en Afghanistan ou au Mali, et aujourd'hui allié de circonstance quoiqu'on en dise. Sans même évoquer le principe fondamental de la souveraineté auquel a le droit chaque peuple, nous sommes loin, très loin de la cohérence diplomatique que nous avions avec le Général De Gaulle, au point désormais d'être digne du roman 1984 de George Orwell.

Ces dernières heures, les nouvelles se bousculent et la pression s'accentue sur Damas. Des armes chimiques nous dit-on ! La ligne rouge des gaz de combat aux allusions mémorielles à peine voilée. Le cassus belli tant attendu. La meute de loups est aux abois. Washington, Paris, Londres suivis par leurs obligés, comme Ankara, veulent la peau de Bachar, c'est entendu. Il faut dire qu'après avoir usé sans vraiment de succès des arguments droits-de-l'hommistes en accusant le régime de Damas de tous les maux de la planète, d'être une dictature tyrannique, répressive et sanguinaire, au point que "Bachar el Assad ne mériterait pas d'être sur Terre", l'opinion, en dépit de la collaboration active des médias aux ordres, commence soit à se lasser ou bien, peut-être, à comprendre la supercherie derrière cette morale qui dissimule un néo-colonialisme virulent. Voilà que "l'Axe du Bien", la "Communauté Internationale", ceux qui ont toujours raison et prompts à secourir la veuve et l'orphelin, Goldman Sachs et Exxon, veulent dans un angélisme touchant venger le massacre de civils victimes d'une agression au gaz de combat. Pour l'occasion et pour que cette comédie produise son effet auprès d'une population en voie de lobotomisation avancée, il nous faudra oublier les centaines de milliers d'enfants morts suite à l'embargo irakien, la scandaleuse prison de Guantanamo indigne d'une nation qui prétend à la civilisation, ou le plus grand camp de concentration à ciel ouvert qu'est la bande de Gaza.

Malheureusement, la version officielle, propagée sans relâche par les médias occidentaux, ne repose que sur peu de choses pour ne pas dire rien. Des vidéos prescientes d'un massacre qui aurait eu lieu le lendemain, sont brandies comme preuves irréfutées et irréfutables. Des témoignages impartiaux de l'opposition syrienne sont considérés comme la parole de l'Evangile, ou plutôt de la Thora devrait-on dire ici. Et tous ces arguments indignes même de la fiole de Colin Powell à l'ONU sont assénés sans retenue sur les radios ou les chaines de télévision. Il ne sera pas fait mention de l'incongruité pour Damas de réaliser des attaques à l'arme chimique ayant l'avantage sur le terrain et sachant les inspecteurs de l'ONU sur place. Il ne sera pas fait mention non plus dans nos médias que photos satellites à l'appui, non démenties par les États-Unis, les Russes ont montré que les tirs avaient été réalisés depuis une position rebelle.

Mais néanmoins, cela suffira-t-il pour empêcher les puissances de l'OTAN d'intervenir d'une manière ou d'une autre en Syrie ? Rien n'est moins sûr. Car il apparaît clair qu'une faction influente de l'administration Obama souhaite ardemment avoir quelque chose à négocier à l'occasion de la conférence pour la Paix en Syrie, Genève II, qui devrait se tenir dans les prochaines semaines. Or, il est acté que les djihadistes perdent chaque jour du terrain au profit de l'armée régulière de Bachar el Assad. A ce rythme, sans intervention occidentale, le conflit pourrait être pratiquement remporté par l'armée régulière au moment de la conférence.

Il est donc urgent d'intervenir pour l'Occident, non seulement pour ne pas perdre la face, si tant est qu'il y ait encore une quelconque crédibilité à assurer tant les mensonges et les trahisons de nos élites envers son propre peuple sont chaque jour plus criant, mais également pour atteindre leurs objectifs géostratégiques dans la région. Le gaz syrien est plus que jamais convoité, sa position entre les états du Golfe et l'Europe en font un parfait lieu de transit pour quelques pipelines bien placés. Un dépeçage en bonne et due forme de la Syrie ne serait pas non plus pour déplaire à une Turquie qui enverrait ainsi un signal fort à sa remuante communauté kurde, actuellement en étroite relation avec son homologue syrienne, de se tenir tranquille. Et le voisin israélien, relativement discret sur le cas de Bachar el Assad, n'en pense certainement pas moins. L'état Hébreu pouvant tout à fait se satisfaire d'une destruction d'un encombrant voisin arabe pour affaiblir par effet de dominos à la fois le Hezbollah libanais et les Palestiniens sans oublier d'affirmer plus que jamais son occupation et son annexion illégale du fertile plateau du Golan.

Enfin, la mise au pas de la Syrie serait un coup dur porté à l'ennemi iranien, pays qui ose encore contester l'ingérence étasunienne et l'arrogance israélienne dans la région, et priverait opportunément la Russie d'une précieuse base maritime dans la méditerranée. Avec tous ces intérêts occidentaux convergents, il est presque surprenant que la Syrie de Bachar tienne encore à l'heure actuelle.

Puisque intervention il y aura, avec ou sans la bénédiction du pantin Ban Ki Moon, il faudrait en effet être naïf pour croire que l'intense travail de désinformation médiatique pour se rallier l'opinion publique n'ait pas quelques finalités guerrières. D'aucun imagine que nous nous dirigeons vers une intervention à la libyenne : un blocus aérien suivi par un intense bombardement de l'OTAN pour soutenir les troupes djihadistes. Dans cette hypothèse, la question est de savoir si comme en Libye, la Chine et surtout la Russie resteront les bras croisés à observer les violations du droit international faites au nom des Droits de l'Homme par les puissances occidentales. Et l'Iran mettra-t-elle ses mises en garde à exécution en cas d'intervention militaire de Washington ? Ce qui est sûr, c'est que nous sommes actuellement dans un degré de tension nettement supérieur à celui du conflit libyen à son époque. De là à évoquer un conflit mondial, il y a un pas qu'il faudrait ne pas franchir.

A l'heure actuelle, que ce soit les États-Unis, la Russie, la Chine, et encore moins la France ou la Grande-Bretagne, aucune puissance, mis à part Israël, n'est réellement prête pour diverses raisons, à s'engager dans un conflit dur et frontal dans la région. Politiquement, Obama n'a absolument aucun intérêt à se lancer dans un nouveau conflit, lui qui peine à se défaire du bourbier afghan et qui pense à achever sereinement son second et dernier mandat. Quant à la Russie et à la Chine, actuellement en pleine rénovation et même reconstruction de leur puissance militaire, il serait surprenant qu'ils s'engagent ouvertement dans une éventuelle opération en Syrie, malgré leurs mises en garde à peine voilées. La Russie souhaite en tout état de cause gagner du temps et retarder le plus possible le jour où elle devra, car elle se doit de l'envisager, engager ses troupes dans un conflit majeur, tant les divergences politiques, diplomatiques et idéologiques avec l'Occident ne font que se creuser chaque jour davantage comme le montre les ridicules accusations d'homophobies et d'appel au boycott des Jeux Olympiques de Sotchi.

L'actuel conflit syrien, tragique, peut finalement être considéré, après la Libye, comme une nouvelle répétition grandeur nature du scénario guerrier qui devrait avoir lieu lors de l'agression programmée de la République Iranienne. Car il n'est pas impossible qu'en Syrie, la Russie et la Chine reculent une nouvelle fois face à l'impérialisme occidental, ce qui ne manquera pas d'ajouter du ressentiment au ressentiment déjà existant et préparer ainsi les germes d'un réel embrasement de la région et du monde lorsque Téhéran sera la cible de Washington et de Tel-Aviv. Car entendons-nous bien, même si la Russie et la Chine sont aujourd'hui craints par l'Occident, il est assez improbable que ces deux nations se risqueraient à des pertes humaines pour le moment. Parce qu'au-delà même d'une force militaire en reconstruction, les opinions dans ces deux pays n'ont pas été véritablement préparées à une telle éventualité.

Quant à la soi-disant "Communauté Internationale" à travers ce conflit syrien, il est possible qu'elle en profite pour tester et évaluer les capacités et la détermination de ses rivaux. Et ce qui est à craindre paradoxalement est justement une absence de réaction russe et chinoise face à l'intervention militaire de l'OTAN qui donnera à cette organisation un sentiment conforté d'impunité, et pourrait alimenter à tort dans les esprits des néo-conservateurs et autres va-t-en-guerre l'idée d'une certaine impuissance russe et chinoise à s'opposer aux interventions occidentales. Il n'y aurait ainsi plus aucun obstacle psychologique à poursuivre ouvertement le remodelage du Proche-Orient en s'en prenant ensuite à un Iran encerclé de toute part.

Comme on peut le voir, en cas d'intervention armée de Washington et de ses caniches, aucun scénario idyllique n'existe. La mer de sang qui ne se sera pas déversée aujourd'hui, le sera sans doute demain. La renonciation à l'escalade par les Russes et les Chinois en Syrie permettant temporairement d'échapper à l'embrasement de la région pourrait au contraire contribuer ultérieurement à un conflit mondial et généralisé lorsque l'Iran sera dans le viseur de la Maison Blanche, de Westminster, de l'Elysée et de la Knesset. En attendant, puisqu'aucun média mainstream sous perfusion étatique ne se risquerait à aller contre la doxa, nous ne pouvons qu'avoir une pensée de solidarité et de compassion pour le peuple syrien, victime du grand échiquier des puissants, et dont les morts vont continuer de s'entasser par dizaine de milliers au nom de leur propre libération...

vendredi 23 août 2013

L'argument de l'homophobie sous couvert de Russophobie


La loi, de bon sens et conforme à ses valeurs et à ses racines, visant à interdire toute propagande homosexuelle auprès des enfants était une trop belle occasion pour les médias occidentaux de déverser toute leur morgue et leur mépris envers une Russie qui ose s'affirmer comme une alternative morale à la bien-pensance du gauchisme sociétal de nos sociétés occidentales.

Car ne nous y trompons pas. Au delà même de la toute-puissance idéologique du lobby LGBT dans nos contrées, se posant en victime d'une homophobie imaginaire à la moindre critique de leurs revendications ou actions, comme celle tout à fait contestable de militants d'Act Up déversant du faux sang devant la Fondation Lejeune, c'est toute cette détestation latente de la Russie et de Poutine qui s'exprime ouvertement à travers cet appel au boycott des Jeux Olympiques de Sotchi.

Un minimum de discernement et de sens critique serait utile. Il faudra un jour se poser la question de savoir pourquoi nos principaux médias sont aussi orientés idéologiquement dès qu'il s'agit de la Russie. N'a-t-on pas vu un seul article ou émission positive ou même neutre à l'égard de ce pays qui rappelons-le, a fourni le plus gros sacrifice humain, environ 21 millions de morts, durant la Seconde Guerre Mondiale ?

La Russie est un pays qui a une autre vision de la société. Un pays qui entend ne pas renier ses racines et ses traditions. Son exception culturelle en sorte mais pris au sens large. Son mode de vie, son histoire, sa souveraineté, son attachement au drapeau. Là où en France, notre exception culturelle, faisant fit de l'artisan, de l'employé ou de l'ouvrier, ne sert finalement que les intérêts de quelques artistes bien installés, ambassadeurs inconditionnels du libertarisme consumériste et admirateurs en secret de la culture anglo-saxonne. Il est aisé de comprendre ainsi que la Russie qualifiée chaque jour d'autoritaire, fascisante, ou de répressive mais en réalité libre de l'uniformisation rampante de la mondialisation ainsi que positivement patriote puisse en gêner plus d'un.

Et quel pied-de-nez à cette bien-pensance dégoulinante de moralité prétentieuse, récitant comme des versets la Déclaration Universelle des Droits de L'Homme, que de voir les athlètes Russes eux-même, libres, défendre âprement leur pays et leur gouvernement face à ces prétendus journalistes qui ne sont que des idéologues de bas-étage. L'instrumentalisation et la manipulation grossières dont vous les journalistes d'Occident vous vous rendez coupables chaque jour bernent de moins en moins de personnes.

Enfin, alors que nous sommes plus que jamais trahis par notre ami étasunien au travers des scandales Wikileaks, Prism, XKeyScore et bien d'autres, la période actuelle du lent déclin américain devrait de plus nous aiguiller sur notre diplomatie. Le soleil ne se lève pas à l'Ouest, mais bien à l'Est.

lundi 22 avril 2013

Au commencement était le Verbe




Quelques petits mots avant quelques jours de repos pour votre humble serviteur.

Ces derniers jours, l'actualité fut très chargée, intense, électrique. Ce ne sont pas les sujets d'importance qui ont manqué. Et ils se sont enchaînés les uns à la suite des autres, à toute allure, tel un torrent impétueux gonflé par les pluies diluviennes d'un orage du Midi...

Les conflits aux Moyen-Orient et les contradictions de la guerre en Syrie, l'Amérique du Sud et le Venezuela vainqueur d'une nouvelle bataille mais pas de la guerre sourde face au rapace états-unien, et puis Boston et ses attentats, réplique en miniature du 11 septembre 2001, et dont les conséquences restent encore entourées du brouillard de l'effroi. Pleuvra-t-il de la poudre et de la mitraille se dit-on ?

Ce modeste blog, n'est pas un blog dont le but est de traiter de l'actualité, bien que cela fut le cas ces dernières semaines. La raison est que le rythme de l'actualité n'est pas celui de la réflexion authentique. C'est ce qui motive principalement cette petite pause, cette prise de recul qui est à présent nécessaire...

Aussi, je profite de cet article spécial, un méta-article en quelque sorte, pour aborder un écueil qui pourrait poser des problèmes à celles et ceux qui souhaitent sincèrement comprendre ce qui se trame autour de nous.

Il s'agit du piège de la lobotomie, du prêt-à-penser, du pré-mâché, dont nous essayons de nous sortir en ayant renoncé à la petite lucarne et à ses prédicateurs du consumérisme, du matérialisme et du conformisme. 

Même si cela part d'une bonne intention, même si cela a pour but de s'informer autrement, évitons donc également le piège de YouTube ou autres Dailymotion qui corrompt la pensée ou au mieux la tronque... Car en vérité, en croyant nous affranchir du Système, nous perpétuons son mode opératoire, celui qui se base sur les émotions, et non sur la raison. La pensée y est souvent aplatie, appauvrie, simplifiée, bref dénaturée.

Car après sa visualisation, il ne reste souvent que peu de chose d'une vidéo consommée passivement devant son écran d'ordinateur, de smartphone ou de tablette. Il convient donc de revenir à la lecture des mots, à la lecture de la pensée, et si possible à l'écriture de sa propre pensée. C'est d'ailleurs l'objet même de ce blog.

Avant de vous quitter, juste pour quelques jours, concluons par un passage connu des Évangiles qui contient l'essence de ce petit article, voir même de ce blog.
Au commencement était le Verbe, et le Verbe était auprès de Dieu et le Verbe était Dieu.
(Jean, Chapitre 1, Verset 1)

dimanche 21 avril 2013

Attentats de Boston : Les hypothèses d'un ancien Lieutenant-Colonel



Ce qui suit est le résumé sous-titré, retranscrit et annoté d'une vidéo d'un  Lieutenant-Colonel à la retraite du nom de Roy Potter. Il y dénonce la mascarade morbide des attentats de Boston avec un sentiment de révolte palpable qui sera contagieux espérons-le, y compris en France et en Europe. Ce qu'il dit est d'autant plus inquiétant que ses hypothèses ont été corroborées juste deux jours plus tard.

samedi 20 avril 2013

Mufti de Tunisie : le Jihad en Syrie n'est pas permis et est une faute immense


Othman Battikh le Mufti de Tunisie a dit que les appels au Jihad en Syrie étaient une "faute immense" et qu'il considérait le "Jihad sexuel" comme une forme de prostitution et d'adultère.

Battikh a dit durant une conférence de presse aujourd'hui que toutes les informations confirment que la jeunesse tunisienne qui est allé faire le Jihad en Syrie "a été trompée et endoctrinée".

mercredi 17 avril 2013

Les coupables des attentats de Boston identifiés ?

Kelley Tuthill/WCVB-TV
Auteur : Paul Joseph Watson, Infowars.com
Date : 17 avril 2013

Traduction : Kairos & Logos

Les photos recueillies sur le site 4chan montrent de nombreuses images d'individus suspects portant de grands sac à dos présents sur les lieux des attentats du Marathon de Boston.

Trois des hommes semblent être des Arabes ou du Moyen-Orient, tandis que deux autres individus sont blancs.